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Décès
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vers 1722
En 1741, "Jean Briant et consorts", de la cordellée de Tremenguy en Plouguin, payaient 17 livres et 10 sous de capitation, soit le 6e montant le plus important de la paroisse (ADLA, B 3620).
Le 9-12-1747, Jean Briand et Marie Pellen, demeurant au lieu du Quinou en Plouguin, François Poullaouen et Catherine Pellen, de Kerguinou en Ploudal. trève de St Pabu, avouent à la seigneurie de Landegarou appartenant aux révérends pères jésuites du collège de Quimper, détenir à Pen an prat, au terroir de l'aber benoit, une maisonnette couverte de gled, etc., héritages "eschus et advenus aux avouants de la succession de Jean Pellen leur père décédée (sic) il y a environ douze ans auquel il estoit escheu de la succession d'Ollivier Pellen son pere decedé il y a environ vingt et cinq ans". (ADF D 58)
Le 13-3-1759, Goulven Briant du moulin de Quinou en Plouguin, pour lui et ses consorts, demande au Sénéchal de la juridiction de la baronie de Kerlech, de "luy accorder main levée et deliment de Cour de la succession" de Catherine Pellen (x François Poullaouec), décédée sans hoirs de son corps le 1-1-1759 à Kerguinou en St Pabu, disant que lui et ses consorts sont fondés à lui succéder collatéralement, et fournissant des "extraits babtistères" pour le justifier. Le requérant est fils des défunts Jean Briant et Marie Pellen, laquelle était sœur de la défunte Catherine Pellen, toutes deux filles des défunts Jean Pellen et Catherine l'Hostis. Le sénéchal "conclud a ce qu'ayant egard a la genealogie par la ditte requete et prouvée par lesdits extraits babtisteres, main levée et deliment de cour soit adjugés audit Jean Briant pour luy et consorts de la succession mobillière et immobiliere de laditte deffunte Catherine pellen pour ce qui relève de laditte jurisdiction en proches et arrieres fiefs" (ADF 11 B 48)
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